Partie 1 : L'étude des allures

L’idée qu’il n’existe qu’une seule équitation : la bonne, restera une utopie tant que les allures ne seront pas clairement définies.

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Partie 2 : Méthode de a vers z

Partie 2Une méthode basée sur la diversité et qui s'adresse à tout passionné, quelque soit sa discipline.

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Partie 3 : Etudes diverses

Partie 3L'AEC se penche sur un sujet, une polémique, un auteur, ou un thème de l'équitation classique.

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Le croisement des parallèles forment un parallélogramme déterminant la parfaite harmonie de l'allure, l'équilibre et la légèreté. La position et la décontraction du cavalier lui permettent de s'intégrer parfaitement dans cette harmonie. L'ensemble est parfait.

Le parallélogramme d'harmonie apparaît chez tout cheval se tenant dans une allure juste (trot). Il provient du parallélisme des rayons et de l'écartement des compas.

 

 

 

 

 

Analyse de la gravure

Au lieu de s'évertuer à trouver les points faibles de tel ou tel cavalier, de telle ou telle tendance, examinons plutôt les points forts se dégageant de l'ancienne école.

1. Décontraction évidente des mâchoires.

2. Décontraction et streching de la nuque.

R = résultante des forces

a) verticales  b) horizontales

Le relevé de l'encolure et la décontraction du bout de devant sont le résultat d'un équilibre parfait frôlant la perfection.

3. L'angle tête-encolure n'est ni trop ouvert ni trop fermé. Le port de tête est normal et naturel pour l'air demandé. On ne remarque aucune contrainte.

4. Le garrot relevé et en streching suit la résultante des forces a et b (comme pour la nuque).

5. Abaissement de la croupe, flexibilité élastique du rein.

La queue, prolongement (du rachis) de la colonne vertébrale suit une direction horizontale ou une oblique vers le bas. La queue déviée vers le haut indiquerait un creusement et une crispation du rein.

6-7. Le parallélisme des rayons constituant un parallélogramme d'harmonie.

Ce parallélisme est le gage d'une diagonalisation parfaite liée à l'égalité des compas.

8. Egalité des compas. L'amplitude des antérieurs est égale à celle des postérieurs.

La posture du cavalier est exemplaire. Décontraction totale dans un maintien sans raideur aucune. Bref un ensemble cavalier-cheval dans une harmonie pure et indiscutable. C'est de la grande musique. Cette image donne l'impression que chaque foulée contient la suivante de par la disposition des ressorts.