Partie 1 : L'étude des allures

L’idée qu’il n’existe qu’une seule équitation : la bonne, restera une utopie tant que les allures ne seront pas clairement définies.

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Partie 2 : Méthode de a vers z

Partie 2Une méthode basée sur la diversité et qui s'adresse à tout passionné, quelque soit sa discipline.

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Partie 3 : Etudes diverses

Partie 3L'AEC se penche sur un sujet, une polémique, un auteur, ou un thème de l'équitation classique.

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 dessin au crayon réalisé par Ellen Van Wesepoel (A.E.C.)
                                                                          

 

l’appui sur la main peut peser 10 gr ou 10 kg…

Plus un cheval a trouvé son équilibre moins il pèse, moins il tire, moins il se met derrière la main…

L’appui sur la main est en rapport direct avec la légèreté du cheval et la légèreté du cheval en rapport direct avec le savoir-faire du cavalier.

Pour un dresseur réellement compétent, cent grammes sur la main c’est trop. Pour un cavalier du type « body builder » dix kilos, c’est peu…

Acceptons la métaphore.

Considérons comme très correct l’appui sur la main que prend un cheval juste et décontracté. À ce moment, la tension sur les rênes est agréablement perçue dans les doigts. Le bien-être tant du cavalier que du cheval devient une évidence.

A : Croquis d’un cheval en position artificielle d’équilibre issue d’un dressage de qualité.

 

 

B : Le cheval strictement dans la même position grâce aux aides de finesse.

 

 

L’expression sur la main et dans les doigts n’est qu’une astuce destinée à éviter de jouer sur les mots « sur » ou « dans » la main.

Le plus simple serait encore de parler de «  contact »

Ici, le cheval soutenu sans force sur le mors de filet (F) est sur la main et dans les doigts. Le mors de bride (B) n’agit que sur le poids de la rêne.  Le cheval est décontracté et confiant dans les aides. La main (M) est en place, ni trop haut ni trop bas.

 

 

 

Voir : Le trot d'Ecole