Partie 1 : L'étude des allures

L’idée qu’il n’existe qu’une seule équitation : la bonne, restera une utopie tant que les allures ne seront pas clairement définies.

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Partie 2 : Méthode de a vers z

Partie 2Une méthode basée sur la diversité et qui s'adresse à tout passionné, quelque soit sa discipline.

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Partie 3 : Etudes diverses

Partie 3L'AEC se penche sur un sujet, une polémique, un auteur, ou un thème de l'équitation classique.

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Qui aujourd'hui dans le monde pourtant ténébreux du Dressage Académique conteste les vertus et qualités du père de l'Equitation Savante ? Personne !

La FEI l'encense. Les Allemands s'en revendiquent. Les Autrichiens le vénèrent. Les Français s'en enorgueillissent. Les Ibériques lui vouent un saint respect...

Une telle unité de pensée est à ce point rarissime qu'il serait maladroit de laisser passer l'occasion de s'en servir.

C'est le moment de montrer que la Légèreté n'est pas passée de mode mais au contraire qu'elle reste le critérium universel et immuable des allures justes et harmonieuses.

Devenus de plus en plus nombreux, les amateurs d'une équitation d'harmonie et de légèreté remettent les anciens maîtres à l'ordre du jour.

Monsieur de La Guérinière redevient le précurseur qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être. François Robichon de La Guérinière est la fois le père, le fils et le saint esprit de l'Equitation de Légèreté.

S'il en est ainsi, c'est donc bien que l'équitation de dressage moderne sombre dans un état de vulgarisation à l'excès, et, n'ayons pas peur des mots, dévie ou dégénère. Mozart, c'est Mozart, le rap, c'est le rap.