Partie 1 : L'étude des allures

L’idée qu’il n’existe qu’une seule équitation : la bonne, restera une utopie tant que les allures ne seront pas clairement définies.

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Partie 2 : Méthode de a vers z

Partie 2Une méthode basée sur la diversité et qui s'adresse à tout passionné, quelque soit sa discipline.

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Partie 3 : Etudes diverses

Partie 3L'AEC se penche sur un sujet, une polémique, un auteur, ou un thème de l'équitation classique.

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Pour le Général Decarpentry

"...à mesure que l'étendue des foulées du passage diminuent, cet air tend vers celui du piaffer, qui n'est que le passage sur place..."

 

Pour Aloïs Podhajsky

« ...Si certains donnent aujourd’hui encore au piaffer le nom de « passage sur place ». Cette définition souligne spécialement le temps de plané. C’est là donc, une formule fausse, parce que c’est au piaffer que le plané est le plus bref, qu’il s’allonge de plus en plus au trot rassemblé…et qu’il atteint le maximum de durée dans le passage... » (Extrait de : L'Équitation - Les secrets de son enseignement à l'Ecole Espagnole de Vienne de Alois Podhajsky, Commandant Edouard Dupont, René Bacharach et Eva Podhajsky (1968)

 

Pour Jean-Yves le Guillou

« ...le piaffer est un passage en place très relevé et grandiose mais au temps de projection bref, exécuté dans une légèreté, un équilibre et une flexibilité parfaits… » (Extrait de : Nouvelle Equitation. A La Recherche Du Centaure, Editions Lavauzelle, (Paris) Date d'édition: 1988)

 

Pour la FFE

« ...le piaffer est un trot sauté à cadence lente dans lequel chaque bipède diagonal se lève et se pose sans gagner du terrain.

Il se caractérise par l’abaissement des hanches, l’élévation des membres et la projection verticale. Il trouve toute sa valeur dans la flexibilité générale, l’élasticité et l’énergie du geste... » (Extrait de : les épreuves de dressage, édition 1991)

 

Pour la F.E.I. (extrait de : règlement de concours de dressage, édition 2003)

« Article 415 : le piaffer

Le piaffer est un mouvement diagonal extrêmement rassemblé, cadencé et élevé, donnant l’impression d’un trot sur place. Le dos du cheval est souple et élastique, la croupe s’abaisse légèrement, les hanches et les jarrets actifs et bien engagés donnent aux épaules et à toute l’avant-main une très grande légèreté... »

 

A QUEL SAINT FAUT-IL SE VOUER ?

 


 

SELECTION DE PIAFFERS CLASSIQUES UNIVERSELLEMENT RECONNUS