Partie 1 : L'étude des allures

L’idée qu’il n’existe qu’une seule équitation : la bonne, restera une utopie tant que les allures ne seront pas clairement définies.

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Partie 2 : Méthode de a vers z

Partie 2Une méthode basée sur la diversité et qui s'adresse à tout passionné, quelque soit sa discipline.

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Partie 3 : Etudes diverses

Partie 3L'AEC se penche sur un sujet, une polémique, un auteur, ou un thème de l'équitation classique.

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Etudes diverses

L’encapuchonnement souvent « forcé » par le mors de bride entraîne des conséquences fatales.  Non seulement il nuit à la santé du cheval mais de plus il dénature complètement les allures. 

 

  • Crispation des mâchoires
  • Encolure cassée à partir de la 3e et 4e vertèbre
  • Nuque affaissée par rapport au point haut de l’encolure
  • Garrot bloqué
  • Dos creux
  • Rein crispé
  • Croupe haute (voir position de la queue)
  • Articulation supérieure de l’arrière-main figée
  • Postérieur étriqué
  • Abdominaux relâchés (« panse de vache »)
  • Risque certain d’une révolte mentale d'un cheval écœuré par une gymnastique inappropriée et beaucoup trop prolongée

 

 

 


La pratique courante de l’encapuchonnement (dans l’air du temps) fait partie d’un système pseudo-classique dangereux. Cette contrefaçon devient une institution.

Avant d’accuser les cavaliers, ne s’agirait-il pas de s’interroger à propos de ceux qui les dirigent et leurs intérêts sous-jacents?

Le Docteur vétérinaire GERD HEUSCHMANN, en tant que scientifique et ami des chevaux, démontre magistralement le danger des pratiques pseudo-classiques actuelles. (Dressage moderne, un jeu de massacre ? aux éditions Belin ISBN 978-2-7011-4824-3)

 

QUAND LE GRATIN INTERNATIONAL DU DRESSAGE SE MET A BAUCHERISER...

Dans sa première manière, François Baucher préconisait les flexions outrées…Est-ce donc en mémoire de lui que les nouveaux maîtres du Dressage « hyperflexionnent » à qui mieux-mieux ? En guise d’échauffement aux épreuves de dressage, les chevaux sont figés sans pitié dans des hyper flexions contre nature (qui s’éternisent parfois 15 à 20 minutes sans relâchement.

A LA LIMITE DE LA TORTURE PHYSIQUE ET MENTALE, ces pratiques ne sont ni plus ni moins qu’un manque total de respect à l’animal, en même temps qu’une GRAVE ENTORSE à l’esprit NOBLE qui devrait animer le monde équestre.

L’IGNORANCE ENGENDRE LA BRUTALITE disait Monsieur Baucher. Il ne devinait certainement pas combien ses propos étaient prémonitoires et combien ses conseils seraient mal appliqués.

Les hyper flexions ont pour objectifs de faire des chevaux des robots destinés aux épreuves publiques. C’est du travail à la chaîne….

Et comble du comble, ces procédés qui dénaturent les allures sont aujourd’hui érigés en véritables institutions. Pourtant, il ne fait aucun doute que dans le futur ces principes seront proscrits et pris comme l’exemple de ce qu’il ne FAUT PAS FAIRE (à l’instar de certains mouvements qui prétendaient pratiquer le grand art en peinture, sans savoir dessiner...)

L’équitation pseudo-classique de dressage actuelle est déjà réfutée par les vrais connaisseurs et le grand public lui-même commence à montrer sa désapprobation.

LA VERITE NE TRIOMPHE JAMAIS MAIS LES TENANTS DE L’ERREUR FINISSENT PAR MOURIR (Lucien Israël)

Si les flexions même outrées de François Baucher visaient à la décontraction et à la légèreté, les hyper flexions par la force n’aboutissent jamais qu’à la raideur et à l’abrutissement des chevaux. Il faudrait veiller à ne pas confondre « les torchons et les serviettes ».

Gageons cependant que le temps n’est pas loin ou Monsieur Baucher sera quand même rendu responsable de ces déviations et qu’après l’échec prévisible dû aux hyper flexions, les « pseudo-classiques » tenteront sans plus de succès de relever les encolures à outrance.

Des chevaux bloqués vers le bas, on passera aux chevaux braqués vers le haut...

Faut-il rappeler que dans sa 2e manière Monsieur Baucher préconisait le relevé outré ?

PAUVRE MONSIEUR BAUCHER : d’une manière comme de l’autre il sera « ridiculisé » par ceux-là mêmes Qui vous déclarent d’un air méprisant : « Baucher !! Moi ? Jamais ! A propos, Monsieur Jourdain ne faisait-il pas de la prose sans le savoir ? Et, quelle prose !...

 

UTILISATION JUDICIEUSE DES FLEXIONS

Baucher ou pas Baucher, le bien-fondé des flexions ne se discute pas, pour autant que demandées avec justesse et à propos, elles aboutissent à la décontraction, aux assouplissements et au développement harmonieux de la musculature. Par ailleurs, elles contribueront à la géométrisation musculaire et au développement des forces motrices de l’arrière-main, de même qu’à la légèreté et à l’amplitude du mouvement des épaules.

Dans tous les cas, les flexions n’iront jamais à l’encontre des allures naturelles. Visuellement, elles ne seront pas sans rappeler les manipulations de l’ostéopathe sans, bien sûr, aller aussi loin. Elles resteront une gymnastique saine et raisonnée. Le dresseur ne cherchera jamais à se substituer à « l’homme de sciences » à qui il laissera le soin de pratiquer les manipulations plus profondes. « Cordonnier, pas plus haut que la chaussure ! »

Le cheval décontracté et obéissant aux flexions sera rapidement et AUTOMATIQUEMENT libéré dans le sens du mouvement en avant. Cet automatisme créera chez le cheval un véritable REFLEXE D’ETIREMENT dans le calme et le bien-être.

 

FLEXIONS LATERALES

Le dresseur est apte à appliquer les flexions latérales s’il est capable de discerner les nouures, les raideurs ou crispations locales. En effet, ces flexions sont censées obtenir un ploiement latéral dans la souplesse et la décontraction. Celui-ci ne sera irréprochable que si les résistances locales ont été éliminées les unes après les autres. Le cheval sera finalement amené à s’incurver du bout du nez à la queue dans la souplesse et la décontraction totale. Répétons-le : le dresseur habile ne laissera subsister aucune crispation (mâchoire, nuque, garrot, résistances costales, raideur du rein). Est-il utile de rappeler que la géométrisation est de rigueur ? Une fois la souplesse latérale acquise, entreront en jeu les flexions directes propres au rassembler.

 

FLEXIONS DIRECTES

Les flexions directes ont pour objectif la flexibilité du rein, l’abaissement des hanches et la détente élastique des postérieurs, c’est-à-dire le rassembler.

Ce formidable objectif n’est malheureusement pas un aboutissement automatique. Le rassembler est une denrée rare à tel point que les cavaliers internationaux de dressage ne le pratique plus. Par manque de compétences ou par manque de temps ?

 

FLEXIONS OUTREES

Directes ou latérales, les flexions outrées sont des moyens plus astreignants destinés à amener le cheval à comprendre plus rapidement que résister insidieusement ne sert à rien et que céder lui permettra automatiquement de quitter une position inconfortable pour un étirement bienfaisant et agréable.

Si elles sont exigeantes, elles sont aussi très fugitives avec à la clé une détente automatique en guise de récompense.

Au fil du temps, la simple menace d’une flexion outrée rendra le cheval attentif et obéissant par réflexe comme une seconde nature.

Qu’on se souvienne que les hyper flexions ou flexions outrées pratiquées en force et longtemps n’amènent que des déboires !

 

Pour clôturer ces propos concernant les flexions, on peut penser que quiconque n’a pas profondément réfléchi à leur utilité doit s’abstenir de les pratiquer, mais, qui n’a pas compris leur utilité risque de n’avoir pas compris beaucoup d’autres choses.

 

Qu'est-ce que l'hyperflexion ?

« Cette technique consiste à travailler le cheval bas et rond, avec un cheval en équilibre, la ligne du dessus tendue, en sortant le garrot, l'arrière-main sous la masse. Cela a pour but de muscler le dos et de développer lentement mais sûrement les allures du cheval dans les meilleures conditions. »

Et comme quelques photos valent mieux qu'un long discours...

 

Ces photos ont été trouvées sur un site destiné à dénoncer le non-sens de la pratique de l'hyperflexion. Il est évident que l'illustration de la méthode par ces photos montre le gouffre qui existe entre la définition théorique et la pratique. Ses ardents défenseurs nous diront que ce genre de photos n'est que l'illustration de moments de détresse du cavalier. Les photos ci-dessus ne semblent pourtant clairement pas illustrer des moments de détresse du cavalier. Celle-ci-dessous, peut-être !

Les plus illustres représentants de cette méthode sont Anky Van Grunsven et son entraineur Sjef Janssen. Anky et Sjef nous disent : « l'hyperflexion n'est qu'une partie de notre entrainement et la position varie très souvent. L'hyperflexion n'est maintenue que durant de très brefs moments et est utilisée en alternance avec de longs moments de relaxation. »On trouve de nombreuses videos d'échauffements de cavaliers olympiques lors de concours internationaux sur le site « You tube » qui nous montrent que la pratique et la théorie sont 2 choses totalement différentes... On peut voir en effet de (très) longs moments de travail dans des allures vives où l'hyperflexion est maintenue sans aucune interruption et n'est absolument pas suivie de moments de relaxation, ni d'extension de la nuque.

 

La polémique

Face à la critique et à la consternation d'un nombre croissant de cavaliers un peu partout en Europe et ailleurs, la FEI a même débattu officiellement du sujet.En voici un compte-rendu : (article trouvé sur le site www.cavadeos.com)

Rollkur et FEI 1er février 2006

Au cœur d'une polémique mondiale depuis plusieurs mois, le « Rollkur » ou « overbending » (=hyperflexion) a fait l'objet d'une réunion organisée par la FEI ce 31 janvier dernier. 60 participants, cavaliers, entraîneurs, vétérinaires, officiels... débattaient ainsi des méthodes controversées d'entraînement du cheval de dressage et de ses conséquences sur sa santé.

Les objectifs de ce forum étaient de :

  • revoir les méthodes d'entrainement des chevaux
  • considérer les possibles implications vétérinaires
  • mieux comprendre la biomécanique et la cinématique impliquée dans ce mouvement de l'encolure
  • discuter de possibles programmes de recherche
  • produire un rapport à la FEI permettant d'envisager le meilleur plan d'action

Suite aux présentations de différents projets de recherche préliminaires dans les domaines de la physiologie, de la radiologie, de la biomécanique..., le comité a tiré la conclusion préliminaire que, quand elle était appliquée par des entraîneurs compétents, il n'y avait pas de preuve scientifique que cette méthode était abusive pour le cheval. Il a aussi été mis en évidence qu'il n'y avait pas de dommage structurel pour le cheval lors des exercices d'entraînements s'ils étaient demandés de la bonne manière par des cavaliers expérimentés. Cependant l'utilisation de cette technique par des personnes inexpérimentées peut être une possible menace pour le bien-être du cheval. La plupart des participants se sont accordés sur le fait que la terminologie « Rollkür » n'était pas compréhensible et ont conclu qu'il serait préférable d'utiliser un terme intelligible pour les cavaliers, les entraîneurs et le grand public. Après une discussion générale, il a été proposé « hyperflexion de l'encolure » avec une ébauche de définition : l'hyperflexion de l'encolure est une technique de travail pour obtenir un degré de flexion longitudinale. L'hyperflexion ne peut être maintenue par le cheval pendant une période prolongée. La FEI a précisé qu'elle était concernée par le bien-être et le traitement des chevaux de concours internationaux y compris sur leurs terrains d'entraînement et dans leurs écuries.

Un autre article sur le site www.eurodressage.com nous parle de la réaction de l'association des juges allemands :

Dans le dernier bulletin de la Fédération Equestre Allemande, l'Association des Juges Allemands a réagi fortement aux conclusions formulées par le workshop de la FEI. Elle a publié ce qui suit :

C'est de manière critique que l'Association de Juges Allemands (Deutsche Richtervereinigung für Pferdeleistungsprüfungen, DRV) réagit au workshop de la FEI à propos du « Rollkür ». L'audition de nombreux vétérinaires, entraîneurs et officiels n'a apporté aucun résultat. Aucune preuve n'a été apportée que l'hyperflexion de l'encolure est une méthode appropriée pour gymnastiquer un cheval. Les membres des comités vétérinaire et technique de dressage de la FEI n'ont pas pu prouver l'efficacité de cette méthode d'entraînement, mais n'ont pas non plus apporté de preuve qu'elle engendrait quelque dommage physique ou mental que ce soit.

Le président de la DRV, Eckhard Wemhöner, déclare que « la FEI a gâché une grande opportunité de gérer de manière critique cette méthode d'entraînement, qui reste un sujet controversé depuis des années. Un manque de préparation de la part des 2 comités de la FEI a permis aux défenseurs du Rollkur de démontrer les vertus de leur méthode à travers les propos de leurs propres vétérinaires et de leurs vidéos, et donc de faire tourner ce séminaire en un succès pour eux. La FEI aurait du contrer cette impression. Après tout, la FEI est basée sur les principes classiques. »

Finalement, s'il existe différentes opinions et différents avis à propos du sujet, chacun se relance la balle à coup de « vous n'avez pas de preuve que... » !

 

Comment ça marche ?

     

En abaissant l’encolure, le remonte et se courbe par l’action des abdominaux, tel un arc-à-flèche. Ce principe est connu et est un fait en soi, il ne peut par conséquent pas être réfuté! Il n’existe dès lors aucune raison de ne pas utiliser ce principe dans l’entraînement d’un cheval.

La méthode Rollkur ne se limite pas à abaisser l’encolure afin de faire monter le dos, mais elle implique également une position de sur-encapuchonnement qui se caractérise par l’effet suivant sur la colonne vertébrale du cheval :

Courbe naturelle de la colonne avec une encolure dans une position naturelle.

Courbe de la colonne dans une position de travail correcte.

Courbe de la colonne selon la position Rollkur.
La courbe n’est plus régulière mais forme un « S ».

 

Derrière la verticale

  

 

Cette fameuse « ligne verticale » dont tout cavalier a entendu parler reste quelque chose d'un peu approximatif pour certains.Nous ne parlons pas de la ligne verticale de la ganache, ni de la ligne verticale du milieu, mais bien de la ligne verticale du chanfrein. Ceci est très important à souligner car dépendamment de la ligne de laquelle on parle, on peut considérer apprécier correctement ou non si un cheval est derrière ou devant cette fameuse ligne imaginaire.

On considère en dressage que le cheval doit avoir son nez toujours devant cette verticale ou au plus, parfaitement sur cette verticale lorsqu'il exécute un exercice exigeant un rassemblé absolu. D'autre part, on considère également que dans l'absolu, la nuque doit être le point le plus haut. Mettre le cheval derrière la verticale implique automatiquement que le point le plus haut « recule » le long de l'encolure du cheval, au fur et à mesure que l'on place le cheval de plus en plus derrière cette verticale.

Le maintien de la position derrière la verticale n'a pas uniquement un effet néfaste sur la colonne vertébrale du cheval. En effet, d'autres paramètres rentrent en compte :

 

Le champ de vision

Voici le champ de vision d’un cheval dans une position naturelle Un cheval voulant regarder l’horizon, doit monter le nez, pouvant aller jusqu’à l’horizontale, afin d’élever son champ de vision. S’il doit se concentrer sur un objet plus proche de lui, il rapproche l’angle de sa tête de la verticale.

Voici le champ de vision d’un cheval étant dans une position de détente vers le bas de l’encolure.

Et voici à présent le champ de vision d’un cheval en hyperflexion. Le maintien prolongé de cette position empêche donc au cheval de voir devant lui, et de pouvoir prévoir quoi que ce soit.

 

Le ligament Nuchal

L'effet escompté du Rollkur est de faire monter le dos du cheval. Un dos qui monte, c'est en fait la colonne thoracique qui remonte par un effet de traction des muscles de la base de l'encolure sur les côtes.

Dans une attitude de détente de l'encolure (stretching) il n'y a pas d'étirement important du ligament Nuchal mais bien un étirement des muscle qui exercent une traction sur les côtes qui font remonter la colonne du thorax.Dans une attitude Rollkur, il y a étirement du ligament Nuchal mais pas des muscles.

 

La colonne sacro-lombaire

Si un étirement du ligament Nuchal peut donner l'illusion d'un dos rond, il a cependant aussi un effet de blocage de la partie sacro-lombaire.

Les lombaires du cheval sont bloquées par la courbe excessive de l'encolure.

 

Musculature de l'encolure

Musculature correcte :

Musculature hyper développée au niveau de la troisième vertèbre et des muscles inférieurs :

Dans cette attitude, le cheval utilise les muscles de la ligne inférieure de l'encolure pour « ramener » la tête en-dedans de la verticale

 

Le cheval qui salive

Une bouche humide avec un peu d'écume blanche est bon signe. Cela révèle une bouche et une langue décontractées. En revanche, des filets de salives s'échappant entre les lèvres et une mousse excessive résultent d'une contraction de la langue due à la contraction de la ligne inférieure de l'encolure, souvent accompagnée d'une traction sur le mors. La langue se contracte et se tortille pour tenter d'échapper à une pression insupportable.

 

Pour conclure

Restons-en là car nul n'est besoin de développer davantage les effets néfaste d'une hyperflexion exagérément prolongée. En effet, de nombreux sites s'étendent en long en large et en détail sur le sujet.

Au vu de ces images, il semble plus qu'aisé de reconnaître un travail juste d'un travail brutal et fautif.

 

Cependant, quelle explication donner au fait que ce style d’attitude soit celle qui prédomine dans les concours de dressage, même internationaux, et que ce soit ces mêmes chevaux qui récoltent le plus de points ?

Encolure cassée au niveau de la troisième vertèbre Piaffé sans rassemblé, dos creusé, pas de flexion de hanche : Le cheval piaffe avec ses jambes.La méthode Rollkur a pour avantage de robotiser les mouvements du cheval. Le fait de maintenir de manière prolongée et répétée sans cesse à l'entraînement d'une position basse et derrière la verticale à un effet de soumission psychologique. L'habitude de garder la tête et l'encolure bloquée dans un même position robotise le cheval qui va apprendre à exécuter tous les mouvements d'une reprise sans la moindre perte de fixité de la tête et va lui inculquer une régularité quasiment impossible à atteindre par un travail classique. Le fait de « libérer » le cheval de cette position d'esclave durant le passage en compétition le soulage d'un coup et il exécute alors des mouvements avec moins de douleur physique et psychologique.

Nous en revenons alors au problème d'évaluation en compétition. Tant que les juges feront prévaloir la régularité, la fixité et la robotisation des mouvements exécutés par rapport à la décontraction, au vrai rassemblé et à l'expression, il n'y aura pas de place à l'équitation classique dans les concours. La solution serait-elle de créer une fédération parallèle ?

Les hyperflexions ne sont pourtant pas quelque chose de nouveau, bien d'autres avant Anky Van Grunsven ont préconisé les flexions et ont basé leur méthode de travail autour de celles-ci.

François Baucher, James Fillis, ou encore Schockemöle les ont étudiés.

  

Alors, l'hyperflexion est-elle à bannir de notre équitation ?